La multi-instrumentiste de métal atmosphérique norvégienne SYLVAINE sort son nouvel album, « Nova », le 4 mars

La multi-instrumentiste de métal atmosphérique norvégienne SYLVAINE sortira son nouvel album, intitulé Nova, le 4 mars 2022 via Season Of Mist.         

Parler à SYLVAINE, la multi-instrumentiste, chef d’orchestre et compositrice née Kathrine Shepard, c’est parler à un esprit qui existe au-delà du voile des conventions et des stéréotype et à une femme qui est une compositrice et arrangeuse sérieuse, de formation classique dont les chansons finissent par exploser contre les conventions illimitées de ce que la musique moderne peut accomplir.

Nue sur la couverture, ce qui peut faire froncer les sourcils, Sylvaine insiste auprès de ses fans sur le fait qu’il s’agit d’un symbole de sa propre vulnérabilité et de la renaissance personnelle qui s’est produite au cours de ces années de création de Nova. « Nova » en termes de langage est lié à des mots tels que nuova (italien) ou nueva (espagnol), signifiant « nouveau » et parle d’une renaissance, d’une perte, de la temporalité de la vie, du deuil comme si rien ne dure éternellement, mais en regardant vers l’avant alors que de nouvelles portes s’ouvrent toujours.

Les titres « Mono No Aware » et « Fortapt » sont des compositions de l’ordre de 10 minutes, montrant les compétences progressives de la maîtrise musicale et de la magie du multi-instrumentiste. Poussant un peu plus loin le va-et-vient bruyant et silencieux des années 90, elle parvient à hanter chaque note avec une sincérité primordiale. « Fortapt » est un morceau particulièrement unique, rendant hommage aux racines norvégiennes de Sylvaine. Alors que les critiques peuvent vouloir épingler une chanson comme « Nowhere, Still Somewhere » dans la catégorie shoegaze ou dreampop, sa résonance mystérieuse ajoute quelque chose à la composition qui fait que le travail de Sylvaine défie toute catégorisation.

Tout comme Jeanne d’Arc, Sylvaine n’est pas une armée d’une seule femme sans ses légionnaires. Au lieu d’enrôler des membres des paillettes du folk métal, elle a été un peu plus sélective quant à ses invités surprises sur son album, choisissant le violoniste écossais Lambert Segura de SAOR et le violoncelliste Nostarion alias Patrik Urban, qu’elle a rencontré lors d’un spectacle acoustique très spécial à La Belgique en 2019. Pour Sylvaine, il était émotionnellement approprié d’intégrer des instrumentistes de formation classique dans son travail, comme en témoigne le dernier morceau de l’album, « Everything Must Come to an End ».

https://www.facebook.com/sylvainemusic       

https://www.sylvainemusic.com/  

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Le temps imparti est dépassé. Merci de recharger le CAPTCHA.