Lydia Luce [soft-rock psychédélique] présente son nouvel album « Florida Girl »

Lydia Luce, autrice-compositrice-interprète et multi-instrumentiste basée à Nashville, a sorti son nouvel album « Florida Girl » via Nettwerk.

De la force rassurante du premier morceau, « Never Enough », jusqu’aux doux et nonchalant « Florida Girl », en passant par les réflexions célestes de « Saline », l’album explore à la fois les douleurs du passé et le présent avec spiritualité et méditation, tout en contemplant l’avenir avec un optimisme tendre.

Florida Girl est une collection de pop moderne aux textures ambiantes et vintage sophistiquées. Un paysage sonore changeant composé de sons de guitare mélancoliques, de mélodies de piano resplendissantes, d’échos de bandes magnétiques et de cordes vaporeuses qui se mélangent pour créer un ensemble élégant de soft-rock, de chill wave, d’indie folk psychédélique et d’electronica. La voix de Luce, à la fois irrésistible et apaisante, hypnotise avec des mantras d’acceptation de soi et de paix, y compris avec son État d’origine, la Floride.

« Dans ma vingtaine, je n’aimais pas dire aux gens que je venais de Floride parce que je n’étais pas toujours d’accord avec la politique« , explique Luce. « Maintenant que j’apprends à accepter tous les aspects de ma personne, je me rends compte que cela a fait de moi la personne que je suis. Le fait d’intituler l’album Florida Girl est une autre étape de cette acceptation. »

Luce a grandi dans un foyer musical strict ; sa mère était chef d’orchestre et l’apprentissage du violon était une obligation pour elle. Après avoir obtenu son diplôme au Berklee College of Music, elle s’est installée à Nashville et est devenue une musicienne de session très sollicitée, jouant de l’alto et du violon pour des légendes de la country telles que Dolly PartonWillie Nelson et la superstar du hip-hop Eminem.

« Ce disque traite de la véritable acceptation. L’acceptation de mon présent et de mon passé, de la vie et de la mort, de mes émotions, bonnes et mauvaises. Jusqu’à présent, la trentaine m’a apporté beaucoup de réflexion. J’ai fui tant de choses dans ma vingtaine, en abusant de drogues et d’alcool et en souffrant de troubles alimentaires. Je n’ai plus envie d’anesthésier quoi que ce soit. Au contraire, je veux y travailler, même si c’est difficile, et être là où j’en suis. »

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